Disolo:Jean-Claude Nzita
Jean Claude Nzita est un homme politique cabindais et artisan de la non-violence, un combattant de la liberté, surnommé soldat du peuple,élevé dans la traduction catholique, Il occupe le poste du secrétaire chargé de l'information et communication, porte-parole du Front de Libération de l'Enclave du Cabinda (FLEC)
Biographie
sobaPetit-fils de Nzita Henriques Tiago, président de l’État du Cabinda et du Front pour la Libération de l’État de Cabinda FLEC. Il fait ses études primaires et secondaires chez les missionnaires catholiques, détenteur d'un Master en Relation Internationale et Diplomatie à l’Université de Cumbria de Zürich ainsi qu'un diplôme de Licence en Sciences Politiques et Administratives en Suisse. Le porte-parole du Gouvernement Cabindais et du Front pour la Libération de l'enclave de Cabinda (en portugais : Frente para a Libertação do Enclave de Cabinda, FLEC, est un mouvement indépendantiste armé fondé en 1963, actif au Cabinda, luttant pour l'indépendance de ce territoire contre l'occupation illégale de l'État angolais. Il est très actif. Il est dynamique et ambitieux. Jean Claude Nzita a un charisme exceptionnel avec son esprit visionnaire. Pour sa sincérité et sa générosité envers les peuple cabindais il est considéré aujourd'hui comme un jeune prodige cabindais, avec ses qualités de grand rassembleur. Il a un esprit très ouvert. Le football a toujours fait parti de sa vie...
Site Officiel du FLEC
sobaParcours et carrière politique
soba- 1997 - 2001 : Membre de la Jeunesse cabinddise en sigle (J.C)
- 2004 - 2012 : Président de la Communauté Cabindaise en Suisse
- 2014 - Secrétaire de l'information et communication, porte-parole du Front pour la Libération de l'Enclave de Cabinda FLEC.
Déroulement du conflit
sobaLe FLEC, créé du 2 au 4 août 1963, est l'un des plus anciens mouvements de libération africains, en lutte contre l'Empire colonial portugais lors des guerres coloniales portugaises dans les années 1960. Celles-ci se sont soldées par des cessez-le-feu et par l'indépendance totale de toutes les colonies. Toutefois, le FLEC n'est pas invité aux négociations pour un cessez-le-feu et le mouvement n'est reconnu ni par le Portugal ni par l'Angola, qui finit par annexer le territoire du Cabinda en novembre 1975. Du 8 au date 11 novembre 1974, l'Angola prend le contrôle de l'enclave grâce au soutien des Cubains et la complicité des états voisins. Peu de temps après l'accord d'Alvor, l'Angola plonge dans la guerre civile, une des plus longues de l'histoire d'Afrique, changeant ainsi les priorités du gouvernement MPLA quant à la situation en Cabinda.
En juillet 2011, l'Allemagne annonce son intention de livrer des vedettes rapides à l'Angola[1] ; cette annonce est critiquée car considérée comme une potentielle violation des règles allemandes concernant l'exportation d'armes[2].